16
Lun, Sep
1 New Articles

Fonds d'entretien routier africains : La 21e Assemblée générale annuelle prévue pour se tenir à Abidjan

Intégration régionale
Typography
  • Smaller Small Medium Big Bigger
  • Default Helvetica Segoe Georgia Times

La 21e Assemblée générale annuelle de l'Association fonds d'entretien routier africains (Afera) se tiendra en 2024, à Abidjan sur les bords de la lagune ébrié.

C’est à la 20e Assemblée générale de cette association, tenue à l’hôtel Radisson Blu de Maputo, du 3 au 6 avril 2023, que les délégués d’une vingtaine de pays présents, ont porté leur choix sur la Côte d'Ivoire. La délégation ivoirienne était conduite par la directrice générale du Fonds d’entretien routier (Fer), Annick Tohé Lasmel.

Cette rencontre de l’Afera a porté sur le thème central : « Aligner le financement durable sur les besoins du secteur routier en Afrique ». Plusieurs sous-thèmes ont été également débattus.

Le choix de la Côte d’Ivoire réside dans le progrès de ce pays dans le secteur des infrastructures routières d’une part. Et les atouts en matière de développement du secteur routier d’autre part. A cela, il faut ajouter le niveau de l'organisation de la réunion du Comité exécutif en janvier 2023 à Abidjan. Ce sont tous ces éléments qui ont concouru à la désignation de la Côte d’Ivoire pour accueillir cette Assemblée générale annuelle de 2024.

Lors de la réunion du Bureau exécutif tenue le 31 janvier 2023 à Abidjan, le Ministre ivoirien de l’Equipement et de l’Entretien Routier, Dr Amédé Kouakou Koffi, a milité pour que l’Association des fonds d'entretien routier africains retrouve Abidjan pour sa rencontre annuelle, après huit ans d’absence.

En marge de cette 20e Assemblée Générale, le Groupe focal Afrique de l’Ouest (Gfao) de l’Afera réuni à Maputo a également porté son choix sur la Côte d’Ivoire.

A noter que l’Afera est composée de quatre (4) groupes focaux à savoir le Groupe focal Afrique de l’Ouest (Gfao), le Groupe focal Afrique de l’Est (Gfae), le Groupe focal Afrique Australe (Gfaa) et le Groupe focal Afrique Centrale (Gfac).

 

Source : Fraternité matin

ONUDI - Employement for Youth

La CGECI - le patonat ivoirien, en partenariat avec l'Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), l'Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), et l'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), a donné le coup d'envoi de l'African Digital Week 2024 avec une conférence dédiée à la jeunesse portant sur les nouveaux métiers de l'industrie 4.0.

Tribune libre

Le projet de budget de l’Etat Ivoirien pour l’année 2024, s’équilibre en ressources et en charges à 13 720,70 milliards de FCFA enregistrant une hausse globale de plus de 17,3% par rapport au 11 694,36 milliards de 2023. Il repose sur une hypothèse de maintien du rythme de croissance économique avec un taux qui devrait se situer à 7,0% cette année et en 2024.

Publiée au journal officiel le 17 Octobre dernier, l’Ordonnance n° 2023-719 du 13 Septembre 2023 portant réforme des Impôts sur les traitements et salaires, pensions et rentes viagères à la charge des salariés entrera en application à compter du 1er Janvier 2024. Zoom sur les changements découlant de la réforme, le nouveau mode de calcul de l’impôt et les impacts sur la gouvernance fiscale des employeurs.

La Côte d'Ivoire a sollicité la Banque Africaine de Développement (BAD) pour le financement d'un nouveau programme: Programme de Production Alimentaire d'Urgence (PPUA).
Le financement du secteur agricole demeure largement insuffisant avec 3,2% des dépenses publiques contre 10% des engagements de Maputo de 2003.
La Côte d'Ivoire a importé 1.113.000 tonnes de riz en 2020, soit 50% de ses besoins, 105 214 tonnes de maïs et 694 176 tonnes de blé.
Le PPUA a été évalué par la BAD en juin 2022 par suite de la requête du gouvernement référencée 0582/MPD/CAB-00/CT-CA/arts du 08 juin 2022.
Le but du programme est d’amortir l’impact des chocs exogènes et de renforcer la souveraineté alimentaire du pays.
Ce nouveau programme en dit long sur l'efficacité de la politique publique agricole, en matière de sécurité et de souveraineté alimentaire, notamment l'efficacité du Programme National d'Investissement Agricole (PNIA) et du Plan National de Développement (PND) concernant le secteur agricole.
S'appuyant sur les documents du Programme Détaillé de Développement de l’Agriculture Africaine (PDDAA), le PNIA de première génération, mis en œuvre de 2010 à 2015, prolongé sur 2016, s'articulait autour de plusieurs objectifs stratégiques dont la sécurité et la souveraineté alimentaire de la Côte d'Ivoire.
Depuis 2016, le défi de la sécurité et de la souveraineté alimentaire est désormais un des axes couverts par le PND. Le PND 2016-2020 a pris en compte les objectifs à la fois économiques et sociaux de développement du secteur agricole au niveau national, selon trois axes dont la sécurité alimentaire et nutritionnelle, qui demeure importante à l'échelle nationale.
Selon vous, les politiques publiques agricoles visant la sécurité et la souveraineté alimentaire sont-elles vraiment efficaces?
Références:
- Rapport d'évaluation de projet du programme de production alimentaire d'urgence.
- Programme National d'Investissement Agricole de deuxième génération (2018-2025)

« Attention à la collecte de données », « Google nous surveille en permanence », « Les Gafa nous espionnent », « Nous sommes esclaves de ceux qui collectent nos données », peut-on entendre ici ou là, à l’occasion d’un verre entre amis ou d’une discussion de comptoir.