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Les startups-climatiques africaines ont levé 1,17 milliard de dollars en 2022

Développement durable
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En Afrique, l'économie verte c'est maintenant et les startups climatiques l'ont bien compris. Durant l'année écoulée, ce jeunes pousses en conjuguant innovation et transition écologique ont occupé le deuxième rang des pépites de la Tech les mieux financées du continent derrière les fintech.

Les startups africaines engagées dans la lutte contre le changement climatique ont levé des financements d'un montant total de 1,17 milliard de dollars en 2023, selon un rapport publié en février dernier par AfricArena. 

Selon le rapport, sont désignées startups-climatiques les entreprises conjuguant innovation et transition écologique qui développent des technologies de pointe à même de contribuer à réduire l'empreinte carbone d'un secteur bien déterminé et d'assurer la protection de l'environnement sur le long terme. 

Appelées aussi greentech ou encore cleantech, ces jeunes pousses sont actives dans plusieurs secteurs dont les énergies renouvelables, la mobilité durable, le bâtiment vert, la gestion des ressources hydriques, le reboisement, la gestion des déchets et l'agriculture durable.

En 2022, ce sont 863 milliards de dollars qui ont été récoltés grâce à des financements en capital sur le total des levées de fonds réalisées par les startups africaines spécialisées dans le développement de technologies climatiques. Ces fonds ont été répartis sur 69 transactions dont la majorité ont porté sur des montants supérieurs à 5 millions de dollars.

l'Afrique compte plus de 500 startups-climatiques dont 147 ont pu lever des fonds auprès des acteurs locaux et internationaux de capital-risque depuis 2015. 

ecobizfm

ONUDI - Employement for Youth

La CGECI - le patonat ivoirien, en partenariat avec l'Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), l'Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), et l'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), a donné le coup d'envoi de l'African Digital Week 2024 avec une conférence dédiée à la jeunesse portant sur les nouveaux métiers de l'industrie 4.0.

Tribune libre

Le projet de budget de l’Etat Ivoirien pour l’année 2024, s’équilibre en ressources et en charges à 13 720,70 milliards de FCFA enregistrant une hausse globale de plus de 17,3% par rapport au 11 694,36 milliards de 2023. Il repose sur une hypothèse de maintien du rythme de croissance économique avec un taux qui devrait se situer à 7,0% cette année et en 2024.

Publiée au journal officiel le 17 Octobre dernier, l’Ordonnance n° 2023-719 du 13 Septembre 2023 portant réforme des Impôts sur les traitements et salaires, pensions et rentes viagères à la charge des salariés entrera en application à compter du 1er Janvier 2024. Zoom sur les changements découlant de la réforme, le nouveau mode de calcul de l’impôt et les impacts sur la gouvernance fiscale des employeurs.

La Côte d'Ivoire a sollicité la Banque Africaine de Développement (BAD) pour le financement d'un nouveau programme: Programme de Production Alimentaire d'Urgence (PPUA).
Le financement du secteur agricole demeure largement insuffisant avec 3,2% des dépenses publiques contre 10% des engagements de Maputo de 2003.
La Côte d'Ivoire a importé 1.113.000 tonnes de riz en 2020, soit 50% de ses besoins, 105 214 tonnes de maïs et 694 176 tonnes de blé.
Le PPUA a été évalué par la BAD en juin 2022 par suite de la requête du gouvernement référencée 0582/MPD/CAB-00/CT-CA/arts du 08 juin 2022.
Le but du programme est d’amortir l’impact des chocs exogènes et de renforcer la souveraineté alimentaire du pays.
Ce nouveau programme en dit long sur l'efficacité de la politique publique agricole, en matière de sécurité et de souveraineté alimentaire, notamment l'efficacité du Programme National d'Investissement Agricole (PNIA) et du Plan National de Développement (PND) concernant le secteur agricole.
S'appuyant sur les documents du Programme Détaillé de Développement de l’Agriculture Africaine (PDDAA), le PNIA de première génération, mis en œuvre de 2010 à 2015, prolongé sur 2016, s'articulait autour de plusieurs objectifs stratégiques dont la sécurité et la souveraineté alimentaire de la Côte d'Ivoire.
Depuis 2016, le défi de la sécurité et de la souveraineté alimentaire est désormais un des axes couverts par le PND. Le PND 2016-2020 a pris en compte les objectifs à la fois économiques et sociaux de développement du secteur agricole au niveau national, selon trois axes dont la sécurité alimentaire et nutritionnelle, qui demeure importante à l'échelle nationale.
Selon vous, les politiques publiques agricoles visant la sécurité et la souveraineté alimentaire sont-elles vraiment efficaces?
Références:
- Rapport d'évaluation de projet du programme de production alimentaire d'urgence.
- Programme National d'Investissement Agricole de deuxième génération (2018-2025)

« Attention à la collecte de données », « Google nous surveille en permanence », « Les Gafa nous espionnent », « Nous sommes esclaves de ceux qui collectent nos données », peut-on entendre ici ou là, à l’occasion d’un verre entre amis ou d’une discussion de comptoir.